A la manière des lanternes magique d’autrefois, les images sont peintes à la main sur plaque de verre, puis projetées à l’aide d’une flotte de projecteurs de diapositives.  Prenant le contrepied des productions aujourd’hui largement rependues sous l’appellation de mapping vidéo et qui tout en donnant souvent dans une surenchère d’effets, s’enferment dans une « boucle spectacle » consommable, le rendu ici proposé allant de l’installation intimiste à l’environnement ou parcours le plus vaste, les propositions se veulent immersifs et propres à la promenade poétique en replaçant le promeneur  en position de découverte et d’exploration.

Tout au long de l’événement les images sont changées manuellement et directement au contact du public, suivant un récit chaque fois renouvelé.